mercredi, septembre 20, 2006

DES ELUS SOCIALISTES S'ENGAGENT POUR SEGOLENE ROYAL !

Les conseillers généraux
Béatrice Amossé, conseillère générale de Blois 5
Geneviève Baraban, conseillère générale de Blois 3
Daniel Chanet, conseiller Général de Vendôme 2 et maire de Vendôme
Gilles Clément, conseiller général de Bracieux et maire de Mont-près-Chambord
Michel Cureau, conseiller général de Montoire et maire de Montoire
Michel Fromet, conseiller général de Blois 2
Marc Gricourt, conseiller général de Blois 4
Jean-Louis Marchenoir, conseiller général de Mennetou-sur- Cher et maire de St-Julien sur Cher
Raymonde Radlé, conseillère générale d’Herbault

Les conseillers régionaux
Tania André
Béatrice Arruga
Alain Beigne
t

Les maires
Claude Germain, maire de Thoré-la-Rochette

Les conseillers municipaux
Gérard Gouzou, maire-adjoint de St-Gervais-la-Forêt
Jean-Pierre Bechtold, Maire-adjoint de Montoire-sur-le Loir

Des citoyens veulent aussi y croire...
Jeannine Baye – Blois
Jacques Beauvais – Chailles
Jacqueline Petit - Montoire sur le Loir
Claude Blocquet – Langon
Pierre-Gilles Girault – Blois
Daniel Grall – Blois
Martine Mons – Blois
Jocelyne Magnani – Onzain
Françoise Bailly – St-Gervais-la-Forêt
Alban Prou – MontrichardJoël Bellein

1 commentaire:

Anonyme a dit…

" On parle beaucoup d'ordre en ce moment (...)
Le résultat, c'est qu'on ne peut invoquer la nécessité de l'ordre pour imposer ses volontés. Car on prend ainsi le problème à l'envers. Il ne faut pas seulement exiger l'ordre pour bien gouverner, il faut bien gouverner pour réaliser le seul ordre qui ait du sens.
Ce n'est pas l'ordre qui renforce la justice, c'est la justice qui donne sa certitude à l'ordre.
(...)
Nous croyons ainsi qu'il est un ordre dont nous ne voulons pas parce qu'il consacrerait notre démission et la fin de l'espoir humain.

C'est pourquoi, si profondément décidés que nous soyons à aider la fondation d'un ordre enfin juste, il faut savoir aussi que nous sommes déterminés à rejeter pour toujours la célèbre phrase d'un faux grand homme et à déclarer que nous préférerons éternellement le désordre à l'injustice."

extrait d'un article d'Albert CAMUS, paru dans "Combat" le 12 octobre 1944, repris dans le recueil "Actuelles" (Gallimard).